Pourquoi les gens mentent-ils ?
Pourquoi les gens mentent-ils ? Je pense que si les hommes mentent, c’est parce tous les autres - sans exception - aiment bien qu’on leur caresse dans le sens du poil. Et puis, cela se développe par besoin de reconnaissance. Ce soif de reconnaissance pousse l’individu jusqu’à l’obsession. La preuve : Le sujet affiché par Marcel m’intéresse. Je voudrais apporter de l’eau au moulin. J’ai commencé par lui poser quelques questions que voici : Connaissez-vous vraiment un seul homme qui ne ment pas ? On a demandé à ce propos à Socrate.
Et Socrate répondait : Tous les athéniens sont des menteurs.
Faut-il rappeler que Socrate était lui aussi athénien ?
Et vous cher Marcel, n'avez-vous jamais été - pour une seule fois seulement - athénien vous-même ? En voici sa réponse : Il était une fois dans le royaume des singes habitait un jeune singe prétentieux qui se prenait pour le centre du monde et de sa banlieue. Il sortait à peine de ses dernières crises d'acné mais savait absolument tout sur tout.
Il avait tout lu sur tous les sujets : la politique, le football, l'économie, la musique, la socio-psycho-pathologie de masse des grands primates, la théorie de la relativité de la connerie des amis de mes amis qui ne sont pas forcément mes amis, la survie des préjugés et des clichés réactionnaires de papa en milieu urbain, le manuel du savoir vivre au crochet des autres, l'incompréhension du génie face à la médiocrité des plus agés...
Il donnait son avis forcément, illustrement, suprêmement, éclairé sans que personne ait songé à lui demander...
Il éblouissait ses auditoires par des successions de phrases toutes faites et de pensées à consommer sur place avec modération.
Bref, l'idéal aurait été de pouvoir l'étrangler mais il paraît que cette pratique est sévèrement réprimée par le code de procédure pénale qui n'a décidément pas prévu tous les cas de figure... Il appartenait à une joyeuse bande qui avait érigé l'hypocrisie en principe fondateur et qui, par voie de conséquence, supportait sa présence avec une fausse compassion.
Bien loin d'imaginer à quel point certains pouvaient le détester, il s'épanouissait comme une mycose dans un slip sale. Pourtant, lassée, à bout de force, la petite troupe s'est peu à peu disloquée autour de lui, le laissant discourir seul avec des feuilles mortes dans un grand parc arboré.
N'y a-t-il pas de l'outrecuidance a donner des leçons de moral? Comme quoi, deux claques qui se perdent, c'est une bonne définition de l'arrogance... Je laisse les autres internautes d’apprécier ce comportement inqualifiables. Je note que M. Marcel a bien exprimé ainsi : « Il donnait son avis forcément, illustrement, suprêmement, éclairé sans que personne ait songé à lui demander... ». Si ce monsieur ne voulait pas obtenir l’avis des autres, alors pourquoi se donne-t-il de la peine d’exprimer dans un forum ? Il n’a qu’à cracher son venin dans une bouteille et bien la bouchonner puis placer cette bouteille sous son oreiller pour espérer de faire de beaux rêves. Quant à mes propos annoncés au forum, je souhaite être critiqué sous tous les coutures - car les points de vue des autres m’intéressent. Il faut être ignorant comme un maître d’école, Pour se flatter que de dire une seule parole. (François Villon) Ce n’est pas sain de commencer une conversation par des invectives. Jésus disait que ce n’est pas ce qui entre dans la bouche qui salirait l’homme, mais plutôt ce qui en sortirait. Je suis désolé de constater qu’il n’y a que des détritus qui sortent des propos haineux et salissant qui sortent des pensées profondes de cet homme. Ne savait-il pas que les gens aimeraient bien poser des questions avant de participer à un débat pour savoir de quoi on va se mêler. En fait, poseriez-vous des questions si le sujet ne vous intéresse pas ? Je me demande en quoi mes questions sont blessantes pour mériter des propos injurieux de Marcel ! Marcel doit savoir que les dénonciateurs obsédés ne valent pas plus que les émetteurs de mensonge car toutes choses égalent par ailleurs (ceteris paribus) ; et que l’on ne combat pas la maladie en insultant les malades et encore moins les alliés potentiels. Il me considère comme un singe. Merci Marcel, car dans l’échelle - élaboré par les psychologues - les singes sont placé au-dessus des chiens qui ne savent qu’aboyer. Rappelez-vous des cours de philosophie ? Mais que les chiens se rassurent, ils sont placés au-dessus des poules stupides qui sont fascinées par l’objet de leur désir. Mais qu’en pensent les psychologues des céphalopodes qui ne peuvent que cracher ses déjections par l’endroit même où entre la nourriture. Quant aux crevettes, un grand poète vietnamien a déjà fait remarquer qu’elles ont de la merde à la place du cerveau. Encore, merci Marcel de m’avoir placé si haut. J’aurais dû fermer ma gueule et ramper entre les jambes de Marcel comme Hàn Tín face à un voyou du village, mais je n’ai jamais eu l’habitude de laisser les chiens me lécher la figure. Voilà pourquoi je réagis. Je voulais prouver que je peux être aussi bête et méchant, sinon plus bête et méchant que Marcel. Voilà, c’est fait. Et dans l’échelle des méchancetés je peux aller encore plus loin si Marcel persiste et signe. Qui peut le plus peut le moindre – comme dirait Victor Hugo. Il était une fois, un petit journaliste merdique qui a abusé des pamphlets pour insulter toutes sortes de gens qui ne paraissaient pas convenables à ses yeux. Un jour, il a subi une peur bleue, c’est alors qu’il était devenu sage, si sage qu’aujourd’hui encore les américains le considèrent comme le plus grand de leurs présidents. J’espère que l’exemple du Président Abraham Lincoln servira à Marcel. Et, j’ose espérer que ce « billet doux » n’affecte pas trop Marcel et que cela l’aide à devenir plus sage que le Président Lincoln.
<bài viết được chỉnh sửa lúc 28.02.2008 13:57:02 bởi Tư Tứ >
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